Le risque associé aux effets stochastiques du rayonnement neutronique est connu pour être dépendant de l'énergie. Au cours de la dernière décennie, plusieurs études ont utilisé des simulations de Monte Carlo pour estimer l'efficacité biologique relative (EBR) des neutrons pour divers types de dommages causés à l'ADN afin de comprendre sa dépendance énergétique fondamentale. Cependant, aucune de ces études n'inclus la simulation de la réparation de l'ADN dans leurs protocoles.
Les patient.e.s atteints de cancer vivent beaucoup d'événements pendant leur traitement. Malgré le soutien de la famille et des amis, ceux-ci ne comprennent pas entièrement la réalité des patient.e.s. Le soutien d'autres patient.e.s ayant vécu une expérience similaire pourrait donc être bénéfique pour de nombreux patient.e.s atteints de cancer.
L'expérience du cancer et l'incertitude qui l'entoure est anxiogène. Le soutien par les pairs est un moyen de réduire l'incertitude non clinique de cette expérience. Le groupe informatique Opal Santé cherche à évaluer l'efficacité d'un algorithme d'appariement de soutien par les pairs basé sur l'intelligence artificielle (IA) et incorporé dans le portail patient Opal. Ceci dans l'espoir de faciliter les programmes de soutien par les pairs pour les patient.e.s atteints de cancer ainsi que leurs aidants au Québec.
Ateliers de communication scientifique pour les étudiant.e.s aux cycles supérieurs
En savoir plusLa stratégie institutionnelle pour la gestion des données de recherche à l’Université Laval : un point de départ
En savoir plusLa rédaction scientifique de manuscrits et d’abstracts
En savoir plusPrincipes FAIR - Communauté Accès aux Données
En savoir plusCynthia Garcia Ybarra
Candidate à la maîtrise
Faculté des sciences et de génie
Université Laval
Les ensembles de données de santé synthétiques sont utiles pour soutenir le développement de techniques d'analyse de données et d'apprentissage automatique dans le domaine de la santé, en offrant un accès à des données représentatives pour expérimenter et générer des modèles, tout en atténuant les problèmes associés au traitement de données hautement sensibles liées à des sujets humains. Cependant, la performance et l'utilité des méthodes d'analyse de données et d'apprentissage automatique appliquées dépendent de la qualité de ces ensembles de données synthétiques et de leur représentativité du phénomène à modéliser.
L'objectif du projet est de développer des méthodes d'apprentissage automatique pour générer des ensembles de données synthétiques sur les soins de santé qui préservent la distribution et la temporalité des ensembles de données administratives réelles de soins de santé tout en garantissant que la confidentialité des informations sensibles sur les personnes trouvées dans l'ensemble de données réel est préservée. Cela signifie qu'il faut avoir certaines garanties que la capacité d'identifier des personnes réelles à partir de l'ensemble de données original est impossible ou très improbable, et que les attributs des enregistrements réels (par exemple, historique des soins de santé d’individus) ne peuvent pas être déduits de l'ensemble de données synthétiques.
En fonction des garanties que nous pouvons obtenir pour assurer la confidentialité des données médicales ouvertes réelles utilisées pour générer les ensembles de données synthétiques, il serait envisagé de produire des versions synthétiques d’ensembles de données de la RAMQ, et même de les divulguer plus ouvertement à des fins de recherche et d'analyse si cela est jugé acceptable.
La prédiction et l'identification précoce d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont cruciales afin de prévenir les revisites aux urgences et de débuter le traitement, réduisant ainsi la morbidité et la mortalité.
Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus fréquent et la cinquième cause de décès par cancer chez les hommes. Pour améliorer les résultats de santé des patients, le traitement doit être personnalisé en se basant sur un pronostic précis. Il existe déjà des nomogrammes permettant d’identifier les patients à faible risque de récidive sur la base d’informations cliniques préopératoires, mais ces outils n’utilisent pas les images médicales des patients.
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Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus fréquent et la cinquième cause de décès par cancer chez les hommes. Pour améliorer les résultats de santé des patients, le traitement doit être personnalisé en se basant sur un pronostic précis. Il existe déjà des nomogrammes permettant d’identifier les patients à faible risque de récidive sur la base d’informations cliniques préopératoires, mais ces outils n’utilisent pas les images médicales des patients.