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Ateliers de communication scientifique pour les étudiant.e.s aux cycles supérieurs

Présenté par

ComSciCon


Activités de formation

Vous voulez améliorer votre capacité à communiquer la science à tous les publics? Rencontrer des personnes étudiantes aux cycles supérieurs passionnées par la communication scientifique? Aimeriez-vous réseauter avec des professionnel.le.s de la communication scientifique? Voici votre chance!

ComSciCon est la première série d’ateliers de communication scientifique pour les personnes étudiantes aux cycles supérieurs. Depuis sa création en 2013 par des personnes étudiantes d’Harvard, plus de 5000 étudiants et étudiantes aux cycles supérieurs ont bénéficié de cette formation gratuitement. Ce programme unique de développement professionnel a pour but d’aider la prochaine génération de dirigeant.e.s en STIM (Science, Technologie, Ingénierie et Mathématiques) à développer ses capacités à communiquer ses recherches et idées entre pairs, aux expert.e.s d’autres domaines, aux responsables politiques, et au grand public. ComSciCon-QC (Québec) est destiné uniquement aux personnes intéressées par la communication scientifique en français.

En 2023, la quatrième édition francophone et québécoise (ComSciCon-QC) aura lieu en présentiel à Montréal du 2 au 4 juin. La participation à ComSciCon-Qc est entièrement gratuite pour les 50 personnes candidates sélectionnées.  La date limite pour candidater est le 12 février 2023 à 23:59. Le formulaire de candidature est disponible ici. 

Activités

Découvrir

Projet en vedette

Détection du delirium à l'aide de paramètres physiologiques et de la surveillance de l'hypovigilance : une étude de cohorte observationnelle pilote

Membre étudiant : Raphaëlle Giguère

Le délirium est un état qui, lorsqu'il n'est pas pris en charge, est associé à une augmentation de la mortalité et à une hospitalisation plus longue des patient.e.s en soins intensifs; son dépistage devrait donc faire partie intégrante des soins. Il se caractérise par la confusion, l’anxiété et une vigilance réduite. Il est estimé que 75% des cas de délirium ne sont pas détectés à l'admission à l'hôpital. En effet, la détection d'un tel état aigu nécessite un suivi fréquent des participant.e.s, ce qui demande beaucoup de travail et d'expertise.

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